Guerre franco-bretonne [843-]

843 - Les normands sont dans la place !
En 843, alors que la foire Saint-Jean bat son plein, les normands, un peuple de navigateurs guerriers proches des vikings prennent d'assaut la cité, qui n'a pas le temps de se retrancher. Heureusement, bien que n'ayant pas connaissance de l'assaut des normands, le roi Charles le Chauve avait dépêché une armée forte de 2 500 hommes, tous frais pour le combat. En voyant l'armée franque arriver dans les environs de Nantes, les 800 guerriers normands ne purent s'empêcher d'attaquer les forces franques, pendant que leurs 200 archers les couvraient. Une chance pour les normands d'assaillir les francs sans subir trop de pertes. Malheureusement, l'entraînement de militaire des forces franques eurent raison de quelques centaines de guerriers normands. Les quelques 100 survivants se retranchèrent dans la cité. L'armée franque n'usa pas de ses armes de siège, détruire les fortifications de la ville la plus proche de leurs ennemis bretons ne serait pas une bonne chose. L'armée se déploie donc autour de Nantes, et commence le siège.

Pertes :
Normands : 693
Francs : 181

843 - L'invasion bretonne
Alors que les francs se sont arrêtés à Nantes, les troupes bretonnes décident d'attaquer au nord. Le Cotentin est leur cible. Heureusement pour les bretons, les francs n'ont pas de soldat prêts à combattre sur le chemin du Cotentin. Les quelques paysans ayant tenté de se battre pour le roi Charles le Chauve ont péri sous les lames bretonnes. Arrivé à Caen, ils ont asservis déjà une bonne partie des territoires de leur itinéraire. Les pertes sont faibles pour les bretons, les archers caennais n'étant pas bien entraînés. Le même résultat et vu chez les francs, qui, protégé par leurs fortifications de pierre, sont assez abrité.

Pertes :
Francie occidentale : 13 (Paysans patriotes)
Deux-Cornouailles : 4

844 - L'expansion au nord
Le siège de Caen a réussit ! Caen est aux bretons ! Un seul civil est mort, par accident, malheureusement. Les bretons contrôlent entièrement le Cotentin, et se dirigent vers Caux. Sans protection, la défaite est assurée pour les francs.

Pertes :
Francie occidentale : 1 (civil)
Deux-Cornouailles : 0